Mongolie : appel à volontaires pour des fouilles en août et septembre 2017 Actualités Femmes de la préhistoire / par Claudine Cohen

Identifier les anatomies fossiles qui définissent le genre Homo, puis la sous-espèce sapiens, les écosystèmes interactifs, les modes et tempos des mécanismes évolutifs et adaptatifs qui ont prévalu à leur émergence et radiation (biologie, comportements).
 

Congrès, colloques, réunions

 

du 16 au 18 mai 2017
Paris

Institut de Paléontologie Humaine

 

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L’Institut de Paléontologie Humaine accueille le prochain séminaire de paléontologie humaine et préhistoire de l’ED 227 du Muséum national d’Histoire naturelle, dirigé par Anne Dambricourt Malassé et ouvert au public.

 

Depuis Linné (1758), l’anatomie humaine actuelle définit le genre Homo et l’espèce sapiens. La verticalité du système nerveux, la capacité crânienne, les membres antérieurs devenus supérieurs, la bipédie exclusive, sont alors les critères de la classification. Ils ont précédé le transformisme de Lamarck que celui-ci appliqua aux origines d’Homo sapiens dès 1802 sur la base des collections du Muséum. La paléontologie humaine s’y est développée grâce au Néandertalien de La Chapelle-aux-Saints étudié par Marcellin Boule (1911) : comment définir le genre Homo si l’espèce sapiens n’est plus seule à en poser les critères ? Quels furent les modes et tempos du redressement neural, ceux de l’encéphalisation, les corollaires anatomo-squelettiques, les conséquences psychomotrices et cognitives, dans quelles mesures l’environnement végétal fut-il aussi interactif que l’environnement animal ?  

 

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